Ils ont été effacés, mettons-les en lumière

Regardez-les, écoutez-les,
c’est notre conscience
qu’ils interpellent

Betty

Infirmière

(Indre et Loire)

J’espère un jour pouvoir me dire que ce n’était qu’un cauchemar.

Vincent

Médecin Radiologue

(Haute-Savoie)

Je suis médecin et je m’adresse à tous les médecins qui liront ce témoignage.

Sylvie Désarménien

Aide-soignante

(Puy-de-Dôme)

En hommage à tous les soignants que l’on maltraite et pour que jamais on n’oublie Sylvie.

Valérie

Aide-soignante

(Essonne)

Je m’attends au meilleur, mais j’envisage le pire.

Rachid

Aide médico-psychologique

(Yvelines)

On a montré un dévouement total à la Nation et 18 mois après, on est des parias. Et ça, c’est très dur à vivre.

Marjorie

Aide-soignante

(Seine-Saint-Denis)

L’avenir me fait très peur.

Éric Loridan

Chirurgien

(Pas-de-Calais)

Ceux-là sont les premières victimes de ce système qui broie les plus belles âmes soignantes.

Cécile

Pompier

(Ille et Vilaine)

Pendant toute ma carrière j’ai attendu "LE grand feu". Aujourd’hui, le combat pour la liberté « vaccinale » et le respect des droits de l’homme est mon grand feu.

Diane

Dentiste

(Val-de-Marne)

Le Conseil de l’Ordre des dentistes interdit aux non-vaccinés de se faire remplacer, d’avoir un collaborateur, et même de vendre leur cabinet : aucune justification médicale à cela.

Marine

Aide-soignante

(Ille-et-Vilaine)

Pourquoi les gens ne se soulèvent pas pour les générations futures ? Pourquoi on laisse passer ces choses-là ?

Gregory Pamart

Médecin

(Nord)

Je vais continuer à essayer de changer le monde et si je n'y arrive pas, j'essaierai quand même.

Marie

Psychologue

(Manche)

N’OUBLIONS JAMAIS qu’à partir de 2020, notre démocratie a chaviré…

Martine

Infirmière

(Ardèche)

Printemps 2020 : On s’adapte, on rassure, on écoute, on panse les cœurs et les corps, on est là !

Cédric

Psychologue en hôpital

(Hauts-de-Seine)

Je vois énormément de colère, mais aussi des gens qui s’écroulent, cloués au lit chez eux parce qu’ils n’envisagent plus aucun avenir.

Eric

Infirmier

(Pyrénées-Atlantiques)

Le réflexe de se référer aux textes législatifs de nos professions est mon dernier recours

Johanne

Aide-soignante

(Ille-et-Vilaine)

Ceux qui il y a encore quelques mois nous applaudissaient, aujourd’hui nous ignorent et nous méprisent.

Axelle

Aide médico psychologique

(Isère)

Mon enfant avait 4 ans quand tout a commencé. Je veux pouvoir lui dire que j’ai essayé de dire non à ce monde, que je n’ai pas tout accepté.

Margaux

Pompier

(Hautes-Alpes)

Faire le deuil d’une profession c’est difficile quand c’était un rêve d’enfant, une vocation.

Ludivine

Orthoptiste

(Landes)

En 2020, j’ai découvert la capacité des médecins à oublier leur esprit scientifique.

Pascale

Infirmière

(Loire)

J’ai reçu la médaille du travail avec les honneurs. La semaine suivante j’étais suspendue dans l’horreur !

Richard

Ostéopathe

(Cher)

J’ai senti la grosse manip, dès le départ. C’est une expérimentation et c’est la population qui sert de cobaye.

Coraline

Infirmière libérale

(Pyrénées Atlantiques)

Il y a une omerta énorme, tout est étouffé, on sait, mais on ne dit rien.

Dominique

Médecin

(Paris)

Il y a un double scandale, celui de ces soignants qu’on empêche de travailler et il y a le scandale de la privation de liberté.

Sabrina

Ambulancière

(Meurthe et Moselle)

L’autre pourriture a fracassé deux vies, la mienne et celle de ma fille, qui a perdu sa vie d’adolescente.

Caroline

Médecin pédopsychiatre

(quelque part en France)

Les enfants sont-ils là pour protéger les adultes ? Les rôles sont-ils inversés ?

Frédéric

Jardinier

(Doubs)

La nature, la Terre m’ont appris tellement de choses. J’ai envie de retrouver le partage, l’amour de la vie.

Gabrielle

Médecin

(Région Ouest)

La fin justifie-t-elle les moyens ? Une maladie virale doit-elle autoriser le contrôle absolu des populations en leur ôtant toute liberté ?

Stéphanie

Infirmière anesthésiste

(Paris)

Le travail en réa a été très dur, mais ce que j’ai le plus mal vécu, c’est la façon dont l’hôpital nous a gérés.

Pascale

Aide-soignante

(Gironde)

J’ai la sensation qu’on m’a mis une laisse autour du cou, que je suis accrochée au mur de l’établissement avec une gamelle vide, sans eau, et qu’on m’a dit : Voilà, démerde-toi.

Jean-Daniel

Maçon

(Essonne)

Je passais plus de temps au travail qu’à la maison et au bout de 22 ans, du jour au lendemain, on m’a dit vous partez ! J’ai eu l’impression que tout s’effondrait.

Marielle

Infirmière

(Ille-et-Vilaine)

Je ressens une grande injustice et une grande incompréhension.

Fabienne

Infirmière

(Landes)

Le scandale du sang contaminé a été une leçon pour les politiques, ça leur a montré qu’ils étaient « responsables mais pas coupables ».