Ils ont été effacés, mettons-les en lumière

Sylvie

Médecin (Nouvelle Aquitaine)

« Pourquoi veut-on imposer à toute la planète une expérimentation ? et pourquoi ça passe aussi bien ? »

Sylvie a 61 ans, elle est mariée et a un enfant. Elle exerce depuis plus de 30 ans. Aujourd’hui elle est en arrêt maladie.

Au début, c’était très stressant pour tout le monde et rapidement il y a un certain nombre de choses qui ne collaient pas. Pourquoi interdire l’hydroxychloroquine, pourquoi est-elle devenu toxique alors qu’elle ne l’a jamais été ? Et j’ai trouvé une étude de 2015 qui montrait que ça fonctionnait sur le Sars-Cov. C’était quand même bizarre !

J’ai suivi les médecins du côté de Strasbourg qui ont eu des résultats avec des traitements et ont eu des problèmes avec le Conseil de l’Ordre. Et le bizarre ne s’arrêtait pas. Il y avait tout le temps des incohérences, jusqu’à l’achat d’un milliard de Remdesivir alors que, bien avant, on savait que ça ne fonctionnait pas et que c’était néphrotoxique. A côté de ça, l’étude de Raoult… Et l’étude qu’ils ont montée pour prouver que le traitement de Raoult ne marchait pas. On savait que ça n’allait pas marcher puisque les doses étaient bien trop élevées et ce n’était pas au tout début du traitement, c’était en hospitalisation. Bizarre aussi, la définition de la pandémie qui a changé. Avant, il fallait beaucoup de malades et beaucoup de morts, maintenant c’est juste la propagation d’un nouveau virus. D’ailleurs on ne parle plus de malade mais de cas.  Alors il faut se demander à qui profite la pandémie.

Aux Etats-Unis, le professeur McCullough, cardiologue mondialement reconnu, a dit dès le départ que l’Ivermectine était efficace. Il a été entendu dans une instance officielle au Texas. Il a expliqué que sa vidéo sur l’Ivermectine, qui ne montrait que des choses prouvées scientifiquement et publiées, a été censurée sur YouTube. C’était comme s’il ne fallait pas dire qu’il existe des traitements, qu’il ne fallait pas soigner. Pourquoi ? La peur.

Pourquoi ? Pour mieux faire passer les mesures et les injections.

C’est étonnant que personne ne se pose la question : « Pourquoi on veut imposer à toute la planète une expérimentation ? et pourquoi ça passe aussi bien ? ».

C’est compliqué pour moi de voir comment les gens continuent à se faire vacciner malgré tous les effets indésirables. Chez les enfants et les sportifs ça devrait se voir, non ? De plus, la sous déclaration en pharmacovigilance est reconnue. Néanmoins, à la mi-novembre 2021, 110 000 effets indésirables ont été déclarés suite à l’injection Sars cov2 contre 45 000 déclarés les autres années, tous médicaments confondus. Beaucoup de mes collègues ne déclarent pas et disent même, malgré les évidences, que ça ne peut pas être la cause.

Il y a tellement de personnes qui se font injecter sans même avoir les bonnes informations. Ils ne passent plus par la case médecin traitant. Ils passent directement de la case télé à la case centre de vaccination. Et le consentement éclairé, il n’y est jamais. Dans les vaccinodromes on leur demande : « Est-ce qu’il y a eu des allergies, est-ce que vous êtes enceinte ? » et puis voilà, c’est bon. Il y a un questionnaire, ils le remplissent, mais ce n’est pas ça le consentement éclairé. Le consentement éclairé, on doit donner le pour et le contre et après la personne décide.

Ce qui me rend vraiment malade, ce sont les injections pour les enfants. Les parents sont informés par la télé et on leur fait très peur. Si on leur disait « Est ce que vous acceptez l’injection expérimentale, qui n’est pas un vaccin et qui a des risques sur la fertilité, sur le cœur, qui diminue l’immunité avec des risques de générer des cancers ? » Personne ne serait d’accord. Et demain… Si des maladies neurologiques devaient se déclarer chez nos enfants ? Montagnier a parlé des maladies à prions dès le début et on a dit « c’est un vieux fou. » Sauf qu’il avait raison. Tout ce qui a été dit au début et bien finalement tout se révèle vrai.

A ce jour, je n’arrive pas à envisager l’avenir…