Ils ont été effacés, mettons-les en lumière

Frédéric

Chirurgien-dentiste (Bouches-du-Rhône)

« On disait aux gens malades de rester chez eux, de ne pas aller voir leur médecin et de prendre du doliprane ! Et en plus, interdiction de prescrire des remèdes existants depuis plus de 70 ans ! »

Frédéric a 66 ans, il a été chirurgien-dentiste en libéral pendant 38 ans. Il a pris sa retraite de façon anticipée en décembre 2020 pour arrêter de subir les pressions multiples vis-à-vis des soignants.

Lors du premier confinement, la fermeture de tous les cabinets dentaires a été ordonnée. Seules les urgences étaient assurées par des volontaires. Pendant ce temps, on disait aux gens malades de rester chez eux, de ne pas aller voir leur médecin et de prendre du Doliprane ! Et en plus, apparition d’une interdiction de prescrire des remèdes existants depuis plus de 70 ans !

Au final, presque deux mois de fermeture sans aucune compensation financière, sauf pour une partie du salaire de mon assistante. Tous les matins, j’assurais une permanence téléphonique. De fait, ma pratique, plus fonctionnelle et énergétique que technique, a été plus impactée par les instances officielles que par le manque de patients.

L’annonce du deuxième confinement, ainsi qu’une forte intuition m’ont amené à avancer ma retraite de sept trimestres. Bien m’en a pris, car il aurait fallu en plus contrer l’obligation vaccinale.

Un peu échaudé par l’histoire du H1N1 de 2009, j’ai commencé à être attentif aux différentes étapes qui se sont succédées depuis mars 2020 et à me méfier de plus en plus des annonces contradictoires du gouvernement. Et de dérive en dérive, on arrive maintenant à une obligation d’injection de produits qui sont en phase expérimentale jusqu’en 2022 et 2023 et qui ont manifestement beaucoup d’effets secondaires.

Très peu pour moi. Merci.