Alexandra
Masseur-kinésithérapeute (Landes)
« Ils ont voulu nous enterrer, mais ils ont oublié que nous étions des graines. »
Alexandra a 49 ans, elle est divorcée et responsable de trois grands garçons en études. Après 27 ans de bons et loyaux services elle s’est retrouvée au point zéro le 15 septembre 2021, dans l’impossibilité d’exercer. Elle était éjectée.
J’ai senti dans mes mains ce Covid s’installer, je l’ai senti à travers la peur qui s’installait chez mes patients.
Quand ce Covid a commencé, c’était compliqué, avec la tête, de faire du sens face à tout ce qu’il se passait, mais au niveau des mains il y avait quelque chose de différent, que je sentais, qui arrivait, c’était subtil mais ça changeait. Il y avait tout ce climat de peur, anxiogène, qui est pour moi le problème majeur de ce Covid. Quand tu fais peur à quelqu’un, il perd sa capacité de récupération, sa capacité d’auto-guérison, tu brouilles toutes les pistes, c’est une perte de sens intime et profond.
Masseur kinésithérapeute de formation, j’ai une approche holistique, globale. Je fais des soins « Surrender », c’est-à-dire de l’écoute tissulaire. J’avais créé une bulle, avec des soins qui tiennent compte de l’individu dans son ensemble et accessibles, remboursés par la sécurité sociale, j’étais heureuse de cela.
J’ai vécu plus de 10 ans en Polynésie, au sein d’un réseau d’indépendants, exerçant des activités libérales complémentaires, avec beaucoup de partages. Là-bas j’ai appris le massage traditionnel polynésien, la réflexologie plantaire, le décodage biologique, et je pouvais compter sur des collègues et leurs compétences : pharmacopée chinoise, médecine traditionnelle polynésienne, allopathie aussi, le meilleur de chaque approche. On tient compte de l’histoire du patient, le plus important c’est que la personne s’entende, parce qu’en réalité le corps sait très bien ce qu’il a à faire, il suffit de créer des conditions pour qu’il puisse se réparer lui-même. Je me sens juste au service de la nature pour une réparation encouragée, en ouvrant un espace d’écoute. C’est laisser du temps au temps, faire prendre conscience et faciliter l’auto guérison.
Riche de ce parcours, je suis arrivée ici il y a 8 ans. J’ai mis du temps avant de rencontrer des gens « de ma planète », qui fonctionnent un peu comme moi. J’ai fini par trouver ma maison, j’ai ouvert un cabinet en libéral et des médecins ont entendu parler de mon travail, ils ont compris ce que je faisais. Je suis habituée à voir des gens quand la médecine occidentale ne sait plus faire. Apres plusieurs traitements, on ne sait plus quoi faire avec eux et c’est à ce moment que je les vois. Ils ont essayé des tas d’approches, ils ont confié le pouvoir sur leur corps aux sachants, ils sont un peu perdus et douloureux. Le corps ne veut plus fonctionner comme avant et il leur dit ; c’est un moment propice pour changer.
Je dis souvent : « Je ne peux rien pour vous, mais en revanche je peux vous aider à voir ce que vous pouvez faire pour vous ». Je ne supporte pas que les gens déposent leur corps en consigne, « Je vous le dépose et je le récupère après ». Je ne suis pas garagiste, ça je ne sais pas faire. Je cherche à entendre, j’écoute avec mes mains, je sens quand un tissu souffre, quand il ne respire plus, quand il est asphyxié. J’ai le souhait que mon patient puisse enfin s’entendre (avec) lui-même.
BLANC
SENTIR LA PEUR, SE SENTIR TRAHIE…
Un tissu apeuré ne vibre plus. Quand tu as peur, tu perds toute capacité de fuite, tu es figé, sidéré, mais tu ne peux pas rester indéfiniment comme ça, sauf si on te maintient dans cette condition. Si je te fais un peu peur, pas longtemps, ou après un choc émotionnel, tu te ressaisis vite. Mais si je te fais un peu peur tous les jours, là je t’habitue, je t’endors progressivement, une confusion s’installe entre réalité intérieure et réalité extérieure. Tu perds tout repère. Quand tu es dans la peur, tu ne peux plus raisonner. Le mental est saturé, les tissus sont figés, ça ne circule plus, il n’y a plus de respiration.
Pendant le Covid j’ai commencé à me fatiguer davantage, comme beaucoup de mes collègues qui font des soins énergétiques. Puis j’ai accepté cette situation, je me suis dit « OK, c’est ce que je suis en train de vivre, je vais essayer de faire ce que je sais faire, de me recentrer et de voir comment je peux fonctionner dans ce système où toutes les antennes sont perturbées, où tous les repères habituels ne valent plus rien ».
Quand j’ai compris que ça continuait de tourner mal et que je ne serais peut-être pas d’accord avec ce qu’on allait me demander, j’ai pensé aider ceux qui n’ont pas envie de se faire « vacciner » et j’ai envisagé de pratiquer des tests antigéniques. En regardant la nomenclature, le prix qu’on nous payait pour faire des trucs qu’un enfant de primaire pourrait apprendre en deux minutes était plus élevé que pour un savoir-faire/savoir-être qui a pris des dizaines d’années à murir. Je me suis sentie trahie totalement !
Ça fait 10 ans que je suis revenue de Tahiti et que je fais des soins globaux avec une approche holistique, pour lesquels je pourrais me faire payer plus cher si je n’étais pas conventionnée, mais je me dis que la sécurité sociale c’est important, c’est précieux. J’étais très fière de faire du Surrender, de la reflexo remboursés par la sécu. Je suis payée 16,13 € la demi-heure, mais je m’en fous parce que ce soin est accessible à tous. C’était ma façon de faire de l’humanitaire, c’était important pour moi. Et en devenant professionnelle du test antigénique, en calculant le nombre de tests que j’aurais pu faire en 1 heure (pas besoin de 27 ans de pratique pour enfoncer des goupillons dans le nez), je pouvais gagner bien plus qu’avec mes soins habituels de kiné !
Pendant des années, par conviction d’un système de soins que je trouvais équitable, j’ai accepté de travailler à un tarif réduit, gelé depuis des années, et là, pour un acte de quelques minutes qui n’exige aucune qualification, ce système me paye beaucoup plus ! Qui est prêt à payer cela en pleine crise ? Pourquoi autant ? J’ai pris soin de ce système pendant ces 10 ans, mais aujourd’hui ce système ne prend plus soin de moi, il me broie. Je ne pourrai jamais y revenir comme avant, je ne veux plus l’alimenter.
Le 15 septembre je me suis retrouvée au point zéro, dans l’impossibilité d’exercer. J’étais éjectée !
Je suis restée chez moi, sidérée, en me demandant ce que j’allais faire, comment vivre et faire vivre mes enfants, comment croire en ce que je fais dans le contexte qui était le mien. Il fallait que je prenne un peu de recul.
J’aime profondément mon métier, j’ai des compétences pour ça, les gens vont mieux quand ils sortent du cabinet, je me sens utile. Mais là, moi, je ne vais plus bien, ce système ne me protège plus. J’ai vraiment perçu cette notion de système patriarcal, si tu adhères c’est OK, si tu n’adhères pas tu dégages. Je me suis dit : « Mais qu’est-ce que j’ai fait ? Ça fait 27 ans que je travaille, qu’est-ce que j’ai fait pour qu’on m’enlève mon diplôme ? À quel moment ai-je été dangereuse en ne me vaccinant pas ? » Toute ma vie j’ai respecté le vivant et là quelqu’un me dit : « Je sais ce qui est bien pour toi, tu ne continueras pas de pratiquer les soins que tu as dispensés pendant 27 ans, parce qu’on en a décidé comme ça ».
Quel est ce système qui me dit qui je suis, alors qu’il ne me connaît même pas ? Que devient-il quand il ne prend pas en compte mon éthique, mes valeurs, ne me respecte pas ? Que devient-il quand lui-même devient discutable sur son éthique et les valeurs qu’il est censé défendre ? Ce système, c’est nous tous. Alors pourquoi me rejette-t-il à présent ?
Ça m’a fait sortir de mes gonds, de ma zone de confort, il a fallu me remettre en question, et plein de gens ne le font pas, ne le feront peut-être jamais, parce qu’ils ne veulent pas, ne peuvent pas, parce qu’à un moment tu te retrouves seul, face à toi-même, face à tes émotions et beaucoup ne veulent pas affronter ça.
C’est pour ça que la population est devenue indifférente au sort des suspendus, alors qu’au début elle avait applaudi ses soignants. C’est parce qu’on a tous besoin de fonctionner dans le système. Moi, si je n’avais pas été éjectée, j’aurais trouvé cahin-caha une façon de fonctionner dans le système. Les gens vont participer comme ils peuvent, ils vont fermer les yeux. Quelqu’un qui n’était pas pour la vaccination au départ a fini par accepter pour des raisons économiques, un autre pour aller sur une terrasse de café, pour beaucoup c’était un ticket pour retrouver leur vie d’avant et du coup ils l’ont fait. Et quand moi, après, je viens leur expliquer ma vision et ce que j’ai compris, je les fais flipper en fait. Ça les remet dans une insécurité, ils ne veulent pas m’entendre, parce que sinon ils courent le risque d’être éjectés du système et c’est violent. Ce que j’ai vécu c’est très violent, on n’est pas tous prêt à vivre ça.
J’ai réalisé que si je cautionne quelque chose qui ignore mon éthique, si je ne me respecte pas là où c’est juste pour moi ; c’est moi qui me rejette dans mes valeurs et là, comment avancer ensuite ? Faire le chemin d’un autre n’est pas avancer sur le mien.
BLANC
LA PENSEE UNIQUE : LA VACCINATION !
Lorsque j’ai découvert Réinfo Covid, j’ai enfin retrouvé des humains, des gens qui m’accueillaient, qui me disaient « On est content de te voir, ne t’inquiète pas tu n’es pas toute seule » et j’ai commencé à entendre des points de vue différents, à avoir des échanges, car ça m’a beaucoup dérangé, toujours ce même discours du gouvernement, la vaccination et rien d’autre, la distanciation, la dématérialisation, le sans contact (dur pour une masseur-kinésithérapeute), le contrôle à outrance des pass, les masques en plein air…
Je me disais : « C’est dingue ce monde, ce n’est pas possible qu’il n’y ait qu’une seule pensée, toujours la même, qu’on ne puisse plus réfléchir autrement ».
Je ne regarde pas la télé depuis des années. Ça remonte à l’exécution des Ceausescu, j’étais toute jeune, j’avais ouvert la télé et j’ai vu un gars shooter dans deux corps défunts. Ce n’était plus les Ceausescu, c’était juste deux vieux qui avaient été exécutés et je ne comprenais pas pourquoi on me montrait cette scène. Ça m’a tellement impactée, je me suis dit je ne veux plus voir ça, je ne veux plus alimenter ça. Donc les BFMTV et tout ça je ne les voyais qu’au domicile des patients, quand j’ai recommencé à travailler. Et pendant un an et demi j’ai vu les mêmes images !
Je me suis dit : « Mais les gens ne se rendent pas compte que ce sont toujours les mêmes images et toujours le même discours ? » Une photo de réanimation un peu floutée, un malade et des personnels soignants fatigués et c’était toujours la même chose, comme ça, chaque jour pendant des mois.
Quand tout le monde pense pareil, quand il n’y a qu’une seule façon de faire, le vaccin et rien d’autre, quand des médecins ne peuvent plus soigner, il y a un problème. Parce que le vivant est riche et varié, donc les propositions, les moments où l’on intervient, sont aussi riches et variés. Quand il y a une pensée unique, c’est dangereux. Quand on fait tout ce qu’on nous demande de faire et que malgré tout nos libertés sont conditionnées, c’est dangereux.
Quand j’ai fait ma formation en méthode Surrender, on nous avait montré le fonctionnement d’une cellule au microscope électronique. J’étais fascinée, pour moi une cellule c’est la démocratie parfaite, parce que chaque partie a un rôle particulier à jouer. Je suis faite de milliards de cellules, chacune a un rôle précis, ma logique du vivant c’est le mouvement et la richesse de la différence. Dans la société c’est pareil et si les gens font tous la même chose la cellule est paralysée, elle est malade.
Dans le gouvernement ils savent tout. Moi, il y a des tas de choses que je ne sais pas et c’est OK, parce que je vais rencontrer quelqu’un qui sait autre chose que moi. Ces autres connaissances, ces points de vue différents, ces rencontres sont une richesse et avec tout ça on va retrouver la pulsation, le rythme d’une cellule. Chacun a un rôle à jouer dans le vivant.
Il y a eu une deuxième phase sidérante, c’était l’énergie du Covid. J’ai vraiment le souvenir qu’entre mes mains, Covid ça veut dire peur. Donc, du coup, même en lisant les infos sur Réinfo Covid je voyais la peur. J’entendais la détresse de gens qui, comme moi, n’avaient rien compris. Ils avaient bossé, ils avaient été de bons petits soldats et ils étaient bannis du système. C’était dur, j’alimentais aussi ma peur de rester rejetée.
Alors pourquoi je refuse cette vaccination de masse et cette obligation aux « soi-niants » ?
Parce que ce n’est pas un vaccin ! Il y a une erreur de langage depuis le début, c’est un essai thérapeutique ! Pour des personnes beaucoup plus âgées que moi, avec des facteurs de co-morbidité, qui ont pesé le pour et le contre, ça pourrait être cohérent, mais pas pour moi. Je suis quelqu’un qui fait confiance à son corps et ça peut paraître complètement farfelu, mais moi, c’est l’inverse que je trouve farfelu. Quand quelqu’un n’est pas en capacité de sentir dans son corps ce qui est juste, il y a un gros problème, un très gros problème.
Et puis il y a les effets indésirables du « vaccin », même s’ils sont niés. Quand tu prends un médicament, quel qu’il soit, il y a toujours une foule d’effets indésirables qui sont mentionnés et là rien ! IL N’Y A RIEN ! Un moment j’ai repris un peu le travail et j’ai eu un patient de 42 ans, sans co-morbidité, doublement vacciné, alors qu’il ne voulait pas le faire au début. Lorsque je l’ai recontacté un peu plus tard, c’est son épouse qui m’a rappelée en m’annonçant qu’il était décédé d’une embolie pulmonaire en bas de l’escalier et les médecins ne savent pas pourquoi. Le pompier qui est venu a dit « Peut-être le vaccin ? », est-ce que l’on peut se contenter de cette incertitude ? J’ai eu ce patient sous les mains avant et après les injections et pour moi, parce que ça résonne en moi, il y a bien eu un avant et un après. S’accorder un peu de doute me semble juste du bon sens. On est dans un essai thérapeutique, donc si on veut prendre le risque d’effets secondaires sur des enfants, des ados, des jeunes adultes, il faudrait au moins que les gens soient informés, documentés, éveillés. Là, ils signent une décharge sans savoir ce qu’il y a dans ce produit, mais plus c’est gros, plus ça passe… Il y a abus de langage, ce n’est pas un vaccin !
Enfin, si tu participes à cet essai thérapeutique, même en conscience, et que tu n’as pas les effets escomptés, que tu n’es pas vacciné, que tu es toujours contaminant, que tu espérais regagner un peu de libertés perdues mais qu’on te demande encore d’appliquer les gestes barrière, qu’on te pousse à faire une deuxième, une troisième, une quatrième dose… Il y a vraiment de quoi s’interroger. On est dans un essai thérapeutique et on doit admettre que c’est un essai thérapeutique, avec des effets qu’on ne maîtrise pas ! Qu’on arrête de vendre ça comme « LA » solution à tout et pour tous, qu’on arrête de n’avoir qu’un seul point de vue. Sous prétexte du principe de précaution on interdit des produits qui existent depuis des décennies, dont les effets secondaires sont connus et parfaitement maîtrisés, mais ce principe de précaution ne vaut pas pour cette thérapie génique expérimentale, que l’on injecte à des millions de gens sans en connaître les effets à long terme. Est-on prêt à prendre des risques aux conséquences inconnues, préjudiciables à la santé des enfants, en sacrifiant leur immunité naturelle que l’on sait, elle, efficace ? On se marche sur la tête…!
BLANC
PURA VIDA
Les Amérindiens disent Pura Vida (faire avec la vie, l’honorer).
Alors aujourd’hui je fais comme on fait avec la vie, on remet du mouvement, de la différence, de la richesse, du doute. J’essaie de trouver ma cohérence et le Covid c’est OK pour moi, c’est Co Vida.
Je vis comme une proposition de re-naissance, qui me renvoie à « moi-m’aime », à ce que je désire nourrir. Si je nourris la noirceur, la peur, je vais vivre dans la noirceur, avec la peur au ventre, je vais alimenter ce que je n’ai pas envie de vivre et mettre à mal mes défenses immunitaires dont j’ai tant besoin.
Si je nourris la lumière, plus de conscience, je vais vivre dans la lumière et avec plus de conscience, mon focus est à présent là. On a besoin de l’ombre pour voir la lumière et inversement, c’est indissociable, mais ce qui gagne en moi c’est ce que je nourris.
Je me dis que ce qui va nous sauver c’est la beauté, c’est l’art, c’est ce qui fait vibrer un être profondément, c’est ce qui met la lumière dans son cœur.
Le Covid est là, il n’y a pas à tergiverser, mais je ne mets plus d’énergie là-dedans. Je me recentre sur la joie, le partage, la vie quoi, c’est Pura Vida et c’est tout. Ma grand-mère, qui était un soleil pour moi, m’a dit un jour : « Avance avec le cœur, encore, avance avec le cœur, toujours », alors je l’écoute, je m’écoute au fond.
Parfois j’ai un peu peur, je n’ai pas de fric, mais ça va revenir. L’abondance est là, partout, la richesse humaine est là, sa créativité, je la vois dans toutes ces réunions du lundi dans ma maison. Mon focus aujourd’hui, il est là.
Une philosophe, A. Lipschitz, dont les précieux enseignements m’ aident et me soutiennent, a dit : « Les plus grands combattants, on ne les connaît pas. Ceux que l’on connaît, ils sont morts ».
Et en écho depuis l’enfance me revient une parole de Gandhi : « Sois le changement que tu veux pour ce monde ».
Le combat doit être incarné, vécu et c’est vers cela que je tends, c’est ma manière d’agir.
Etre combattant à ma manière, c’est lâcher les armes, simplement être, vivre ce qui me semble juste et bon, soutenir le vivant, lui faire de la place. C’est ce que je faisais pour les patients, et maintenant je prends le temps de l’appliquer pour moi-même.
C’est ma contribution dans la grande cellule qu’est l’humanité, cette démocratie réelle que je désire, que je veux partager.
Pour finir, je partage ici le souvenir de cette jeune femme qui est venue dans les premières réunions du lundi chez moi, une sage-femme magnifique qui nous a cité cette phrase amérindienne : « Ils ont voulu nous enterrer, mais ils ont oublié que nous étions des graines. »
Etre consciente que nous sommes des graines, et que si nous en prenons soin, cela donnera ce que nous désirons vivre.