Olivier Soulier
Médecin (Nord)
« Protéger la médecine, la vraie médecine. »
Olivier a 66 ans. Il est médecin homéopathe et acupuncteur depuis 40 ans. Il a cessé son activité en janvier 2022.
Je suis retraité depuis le 1er janvier 2022 parce que j’ai refusé de me faire injecter. J’ai exercé la médecine pendant 40 ans et je suis conférencier depuis une trentaine d’années. J’ai aussi écrit deux livres, fait une dizaine de films et je suis en train de finir un dictionnaire sur les eczémas atopiques. J’ai une très longue carrière de chercheur sur la symbolique des maladies, que j’enseigne depuis 25 ans. Ma première conférence, quand j’avais 32 ans, s’appelait : « A quoi servent les maladies ? »
Je considère que toutes les maladies ont une fonction, une signification, un sens. Pour moi, la maladie fait intimement partie de la bonne santé. Ce sont les deux faces d’une même chose. Une maladie sert à régler un problème pour revenir à l’état de la bonne santé, tout comme la nuit, le sommeil sert à se réparer afin d’être prêt pour la journée du lendemain. Considérer que la maladie est une mauvaise chose qu’il faut combattre à tout prix, c’est une erreur. Hahnemann, le fondateur de l’homéopathie disait : « Il faut favoriser les aiguës, contrarier les chroniques ». C’est-à-dire : il faut favoriser les maladies aigües parce qu’elles ont comme fonction de vous ramener à l’équilibre, et il faut contrarier les maladies chroniques parce qu’elles signifient que vous n’avez pas pu revenir à l’équilibre avec une maladie aiguë ; c’est une sorte de tentative qui a échoué et qui part en chronicité. Et ces maladies chroniques, il faut les combattre pour essayer de revenir à l’équilibre.
La médecine allopathique classique a ses titres de gloire, pour sa technicité, sa capacité à « changer les pièces », à réparer des cœurs, elle fait des choses incroyables. Elle est très bonne dans un certain nombre de situations dramatiques d’urgence. Techniquement elle est assez géniale, mais au niveau compréhension, prévention, rééquilibration c’est dramatique. La physio-pathologie reste extrêmement sommaire, et elle reste mécaniciste. C’est « On va vous donner des médicaments. » C’est tout. Pourquoi vous avez un diabète ? Pourquoi vous avez un problème cardiaque ? Pourquoi vous avez une hypertension ? Pourquoi vous avez un rhumatisme ? Les causes ne sont pas toujours curables, mais là, il n’y a aucune compréhension des causes. Car pour prescrire un médicament, pour enrichir l’industrie pharmaceutique, ce n’est pas quelque chose qui intéresse. Au contraire, si vous connaissez les causes, vous allez peut-être guérir et on va arrêter de prescrire. Alors que des enseignements comme l’homéopathie, ou l’acupuncture qui a quatre mille ans, ont une compréhension très profonde du fonctionnement des maladies, des équilibres, des mécaniques intimes.
Cette crise Covid ça n’est pas quelque chose de nouveau. J’observe ce processus depuis que je fais de la médecine, mais il existe depuis le début du 20ème siècle, depuis le rapport Flexner, depuis le plan Rockefeller, le début de la pharmacie chimique issue de la chimie du pétrole. Ce processus a grignoté les médecines alternatives, la phytothérapie, toutes les techniques alternatives intéressantes. Il n’a cessé de s’amplifier jusqu’à cette crise, qui n’est finalement qu’un événement de plus.
Depuis le début de mon installation comme homéopathe, dans les années 80, de nombreuses possibilités de traitement ont été supprimées, retirées, interdites. De cette manière, l’industrie, Big-Pharma, comme on a l’habitude de l’appeler, non seulement veut attaquer, mais veut détruire toute forme de concurrence. Le grand drame de l’homéopathie, c’est qu’elle soignait 30% de la population avec 3% des dépenses de santé. C’est ce que j’appelle, un crime de lèse Big-Pharma, ça montait en puissance depuis longtemps et je n’ai pas du tout été surpris quand c’est arrivé. D’ailleurs, dès le début je l’ai écrit : « On y est, ils vont nous faire une crise pour nous vendre un nouveau vaccin, et surtout pour essayer de détruire toutes les médecines alternatives et virer tous les soignants de qualité de l’hôpital et de la médecine générale. » Je crois que ça a surpris tous mes confrères qui faisaient de la médecine générale classique, mais pas les homéopathes. La manière dont certaines autorités sont prêtes à absolument n’importe quoi pour détruire toute forme de concurrence, ce n’est pas quelque chose de nouveau. Disons qu’elles sont passées à l’étape supérieure en s’en prenant à l’ensemble de la population. C’est tout. On a clairement vu que le but est de supprimer la médecine générale, pour avoir une médecine électronique. On a déjà supprimé les secrétariats médicaux avec Doctolib, maintenant on veut supprimer la liberté de prescription, on veut faire une médecine intégralement dépendante du business. Tous les médecins devraient être vent debout pour défendre les principes généraux de la médecine et le serment d’Hippocrate.
Il y a quarante ans on formait les médecins avec un certain esprit libre. Aujourd’hui, l’enseignement est formaté, les programmes noyautés par l’industrie pharmaceutique. Ils peuvent même poser des questions sur l’homéopathie aux étudiants de première ou seconde année de médecine, comme : « Expliquez, en quoi l’homéopathie est dangereuse ». Si vous répondez : « Non, l’homéopathie n’est pas dangereuse, il suffit de la prescrire dans les moments qui sont adaptés », et bien vous n‘êtes pas reçu. On est dans une problématique d’idéologie et l’idéologie ça relève de la dictature, en l’occurrence la dictature de Big-Pharma. Il y a quelques traitements, qui miraculeusement ont réussi à passer à travers, comme les cures thermales et quelques éléments de diététique. Je pense que 20 à 30% des médecins ont des avis un peu semblables au mien, mais ils se taisent. Si vous ne respectez pas le discours officiel, vous risquez de n’être jamais chef de clinique, ou bien on va vous interdire d’exercer. Sans parler des conflits d’intérêt et des sommes colossales qu’ont reçues certains médecins infectiologues en quelques années. Toutes les sociétés fonctionnent comme ça et c’est ce que Jean-Dominique Michel appelle la corruption systémique.
Je me suis suspendu au 15 septembre 2021, volontairement, et je me suis mis en retraite au 1er janvier 2022. J’ai 66 ans, donc pour moi c’est simple. Mais je ne l’ai pas mal vécu, parce que je m’y attendais, de même que je m’attends encore à beaucoup de choses et que je n’ai absolument pas peur de ce qui peut se produire. Quand vous sortez et qu’il pleut, vous ne vous étonnez pas d’être mouillé, vous vous équipez. Au début, comme on avait moins de consultations, j’en ai profité pour faire un jeûne et prendre du temps pour méditer, pour écrire, mais ça ne m’a pas du tout traumatisé. En septembre 2020, Michel Geffard, un chercheur extraordinaire avec lequel je travaillais depuis trente ans, s’est fait arrêter. Là, j’ai compris que l’attaque avait monté d’un cran. Mettre en garde à vue un homme dont la place serait plutôt Prix Nobel à Oslo, c’est quand même assez gonflé ! On voyait bien que la pression commençait à monter, beaucoup d’informations circulaient, donc je n’ai pas été surpris. Au début j’ai travaillé seul, ensuite j’ai eu des contacts avec Xavier Azalbert de Bon Sens et j’ai rejoint Réinfo Covid, tout en restant en lien avec énormément de chercheurs, comme les Delépine. Et très rapidement, je me suis occupé du groupe Soignants de Réinfo Covid, puis en janvier 2021, avec Christian Perronne et Eric Menat, de la création du C.S.I. (Conseil Scientifique Indépendant), puis en juillet, le Syndicat Liberté Santé. J’ai participé avec Vincent Pavan à la création de Réinfo Liberté, dont je suis vice-président, et on continue. Le but, c’est de sauver la médecine humaniste, de défendre la liberté, de défendre l’intégrité physique et psychique des gens, de nos patients, de tous les gens qu’on aime et de défendre une certaine qualité de vie et une certaine qualité de la médecine.
Les premiers soignants que nous avons reçus à Réinfo Covid étaient totalement effondrés, perdus. Ce sentiment de solitude, cette révolte, cette énorme colère qu’ils avaient en eux avaient besoin de sortir. On les a beaucoup écoutés et une fois leur détresse exprimée ils allaient mieux et devenaient efficaces pour continuer à protéger la médecine, la vraie médecine. Pour beaucoup de personnes la colère a été une excellente chose. La colère je l’ai ressentie il y a quarante ans, quand un de mes maîtres en homéopathie a été mis en prison pendant 1 mois, pour être blanchi après. Là oui, j’étais en colère. Mais après j’ai eu l’habitude de voir que ça fonctionnait toujours comme ça et je pense que, face à l’ultra détermination des gens que nous avons en face de nous, il faut rester ultra calme. Si j’ai eu de la colère, elle a immédiatement fait place à de la détermination, calme, précise, pour être efficace. Je dis souvent en plaisantant : « Je ne suis pas dépressif, je suis en pleine forme, si vous me retrouvez mort, je ne me suis pas suicidé. »
Quand je vois maintenant, mais avec joie, beaucoup de médecins qui ont quitté de force la médecine, je me dis, c’est formidable, on va récupérer des gens extraordinaires, parce-que finalement qu’est-ce qu’il a fait le gouvernement ? Il s’est payé à bas prix un plan de licenciement de tous les gens qui avaient de la qualité. Je parle de qualité, pas de compétence, c’est-à-dire, de gens qui ne voulaient pas se laisser faire. C’est pour ça qu’ils ne veulent pas les réintégrer, ce sont de fortes têtes, elles pourraient donner des idées aux autres. Pendant toute mon enfance j’ai entendu des histoires de résistance. Le frère aîné de mon père est mort en déportation, il a été arrêté à 19 ans, il est mort à 20 ans et 1 mois. Je ne pensais pas que ça se reproduirait, mais je pense qu’on a une âme de résistant ou on ne l’a pas. Moi je ne peux pas laisser faire une dictature sans bouger. Et ça ne sert à rien de s’énerver, il faut être efficace et conscient du danger.
Une des choses les plus marquantes pour nous, ça n’a pas été les mesures du gouvernement, ni celles de Big Pharma, de la finance mondiale, du nouvel ordre mondial, de Klaus ou de Yuval, mais c’est que la plus grosse partie de la population n’a pas réagi. On n’a pas arrêté de leur dire « Attention c’est dangereux » et aujourd’hui ils viennent nous dire « Qu’est-ce qu’on peut faire pour se dé-vaccinner ? ». Pour moi ça traduit 40, 50 années d’endoctrinement, avec les jeux vidéo, la télé-réalité, la « BFM-isation… » On a abêti les gens, on ne leur a pas appris à réfléchir, on leur a appris à se soumettre. Dès qu’on dit un mot en dehors, immédiatement on est cassé. Donc on a sélectionné dans la population des gens obéissants et on a fait monter au pouvoir des gens durs, calculateurs, sans aucun scrupule, capables de tout. Des gens qui n’éprouvent aucun sentiment, aucun remords et qui sont capables d’être cruels ou sadiques, qui se conduisent comme des psychopathes.
Goethe a dit : « Dieu a créé la mort pour qu’il y ait plus de vie ». Il faudrait refaire l’éloge de la mort comme étant l’aboutissement, l’accomplissement d’une vie. Et donc dire aux gens, vivez vraiment, ne soyez pas des petits enfants comme ceux qui ne savent pas vivre et pensent qu’en changeant le monde ils vont aller mieux. Il faut savoir parler aux gens comme ils sont : un paranoïaque vous lui parlez de peur il va se calmer. Quelqu’un d’intelligent, vous lui parlez d’humanité et il va réfléchir.
Outre qu’il va falloir un jour ou l’autre faire des tribunaux pour juger tous ces hommes politiques pour tout ce qu’ils ont fait, il y a quelque chose d’important qui se joue. Il y a toute une réflexion fondamentale à avoir si on veut éviter que ce monde continue de partir en vrille. Il faudrait tout revoir dans l’éducation, depuis le début, donner des cours d’instruction civique, d’instruction critique. Apprendre aux gens à déjouer les pièges d’internet, les pièges du marketing, les manipulations des hommes politiques. Je pense qu’il est difficile de faire rentrer dans un moule de bêtise les gens qui ont l’esprit de résistance, qui ont su développer leur esprit critique. C’est ce qu’il faut réapprendre à chaque citoyen. J’accepte de rentrer dans des moules utiles, je roule à droite, je respecte les feux, je ne vole pas, je ne tue pas, ça, ce sont des lois correctes. On a envie de les respecter parce qu’elles font du bien à l’ensemble de la population. Par contre aller dire qu’on ne peut pas prescrire un médicament qui soigne, ça, je suis désolé, ce n’est pas une bonne loi.
Il faut savoir que pour obtenir une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) provisoire, il y a deux critères :
1 – Avoir un produit qui agit à plus de 50%. Les labos ont donc annoncé des résultats à 93-95%, qui sont des efficacités relatives, alors qu’on sait maintenant que les efficacités absolues sont de l’ordre de 0,84%, c’est-à-dire rien. Peter Doshy, grand médecin, avait dit dès le début, en reprenant les calculs de Pfizer et de Moderna, que l’action se situait entre 17% et 29%. Et on a fait passer l’efficacité relative (qui correspond à une baisse de la positivité aux Test PCR, par exemple) pour l’efficacité absolue, qui elle empêche d’attraper la maladie.
2 – Il faut qu’il n’existe aucun traitement. D’où l’intérêt de discréditer, puis d’interdire les traitements existants. Car outre le fait de supprimer la carence en vitamine D, qui est très efficace, il y a au moins trois gros traitements :
- l’hydroxychloroquine, active à 60% quand on la donne tout de suite. Les pays qui l’ont utilisée, comme l’Algérie, ont un nombre de morts considérablement moins élevé que l’Europe.
- l’Ivermectine, beaucoup utilisée en Afrique et qu’on a vue apparaître un peu plus tard. Un pays comme le Nigéria a eu, je crois, 200 morts pour 200 millions d’habitants, un chiffre très faible. Ils l’ont utilisée à titre préventif tout le temps. Il y a aussi des études, comme l’étude Brésilienne qui parle de 98% de gens guéris, c’est colossal. Pour eux c’est un traitement qui a marché à tous les coups. J’ai eu le Covid, j’ai pris de l’Ivermectine, 1 heure après ça allait déjà mieux, les effets sont immédiats, c’est très, très impressionnant cette rapidité d’action !
- l’Artemisia Annua, qui a été beaucoup utilisée en Afrique. Cette plante existe depuis très longtemps. Mais le problème des plantes c’est qu’on ne peut pas les breveter, donc l’industrie pharmaceutique n’aime pas. Elle aimerait bien pouvoir profiter du vivant, mais c’est interdit.
Avec ces trois traitements on pouvait très facilement soigner. Mais c’est la manipulation classique des firmes pharmaceutiques, il n’y a rien de nouveau.
Je suis pour une vision nuancée et la plus scientifiquement calée de la réalité. On a cherché à nous discréditer en nous traitant de complotiste, d’anti-vax, mais aujourd’hui tout s’effondre ! Tous les médecins de plateau, les scientifiques ont raconté n’importe quoi. On a même probablement tué beaucoup de monde, nous a dit Delfraissy. Les soignants non vaccinés sont réintégrés en Allemagne, au Canada, dans l’état de New York, en Italie, mais Agnès Firmin, notre ministre déléguée à la Santé persiste : « La réintégration des personnels soignants n’est pas souhaitable… se faire vacciner c’est aussi valeur d’exemple ». Justement, je pense qu’ils ont peut-être montré un bon exemple de rigueur scientifique, parce qu’il faut savoir qu’appliquer un traitement insuffisamment expérimenté, dans le code de déontologie, ça s’appelle du charlatanisme. « Les médecins ne peuvent proposer aux malades ou à leur entourage, comme salutaire ou sans danger, un remède ou un procédé illusoire ou insuffisamment éprouvé. Toute pratique de charlatanisme est interdite ». (Article R4127-39)
Je refuse cette injection génique expérimentale, qui fait courir à l’humanité probablement un des plus grands risques sanitaires de son histoire. Il ne faut pas utiliser le terme de vaccination. On a profité de la bonne réputation de la vaccination pour nous placer un produit défectueux. Très vite, j’ai senti que ce n’était pas possible. J’ai quand même appris, pendant des années, qu’il fallait au moins 5, 8, voire 10 ans pour mettre au point un vaccin et d’un seul coup on nous sort ce truc ! Elles sont où les études ?
L’homéopathie, ça fait 2 siècles que ça marche, c’est prouvé, on sait qu’une plante, par exemple, quand elle est utilisée depuis 3 générations, on n’a pas besoin d’études parce que s’il y avait des effets secondaires on les connaîtrait.
Avec cette injection, il y a énormément d’effets secondaires. C’est 1 effet secondaire sur 3 ou sur 4, un handicap profond sur 60 et probablement un mort sur 166. Un médicament qui a 1 effet secondaire sur 3 ou sur 4 on le retire immédiatement du marché. Ça n’aurait jamais dû sortir ! S’il n’y avait pas une corruption colossale au plus haut niveau des institutions, de l’OMS, de la communauté européenne, de l’état français, jamais, jamais ça ne serait passé ! Et tout médecin devrait refuser ce type de corruption. Ça va bien au-delà du scandale du Mediator et du sang contaminé. Je suis contre tout ce qui peut risquer de créer des milliers, des millions de morts. Le but de la médecine ça n’est pas de faire des morts pour un truc qui ne marche pas !
Et on sait bien que ça ne marche pas. Mme Janine Small, la présidente des marchés internationaux chez Pfizer a reconnu qu’aucune étude n’avait été faite pour savoir si le vaccin était efficace contre la transmission. Ça enlève toute légitimité à la vaccination pour autrui, on vaccine des jeunes qui n’ont aucun risque et ça ne protège pas les vieux. On tue des jeunes pour rien, on a sûrement tué beaucoup de gens. Je ne peux pas être d’accord avec ça. Par contre si on voulait faire quelque chose pour tuer beaucoup de monde, là, il faut reconnaître que l’objectif va être atteint, je pense.
Mais à travers tout ça, on a réalisé que, même avec la plus haute technologie, on n’arrive pas à modifier l’ADN comme on voudrait. C’est très intéressant parce que ça veut dire qu’il y aura peut-être encore des centaines de milliers d’années avant qu’on y parvienne. C’est une excellente nouvelle ! Bien que l’on découvre ceci à travers tous les effets secondaires, ça veut dire que notre système de protection est toujours là. Et pour conclure, je dirais que : « On va continuer à défendre la vie. »
Témoignage recueilli en octobre 2022 – Olivier nous a quitté le 28 juin 2023