Jean-Louis
Kinésithérapeute (Charente-Maritime)
« Les choix faits par les politiques, les médias, bigpharma et un peuple apeuré ne me concernent pas. Ils me placent d'emblée en résistance. »
Jean-Louis a 70 ans, il est marié, sans enfant à charge. Il exerce depuis 19 ans. Il a pris une retraite anticipée pour ne pas se soumettre à l’obligation vaccinale contre la Covid.
J’avais un cabinet libéral depuis 2004 et j’avais 67 ans quand le Coronacircus a commencé. J’étais marié et je prévoyais de prendre ma retraite quand mes remboursements bancaires (2 000 €/mois), adossés au cabinet dont je suis propriétaire, seraient terminés.
J’avais une pratique très globale (thérapie manuelle), voire holistique (Kinésiologie) et j’accompagnais les patients avec leurs pathologies, très loin de lutter avec eux contre leurs problèmes. Remettre de l’harmonie, de l’homéostasie est plus intéressant que de tenter de faire disparaître le problème. Je ne lutte pas contre, je lutte avec. J’étais déjà un kiné à la marge, très peu compris par mes collègues et les syndicats.
Lors du premier confinement, mon activité s’est arrêtée d’elle-même par manque de patients, qui ont cessé d’honorer leurs rendez-vous à 99 %. J’ai pris l’évènement positivement, bien que j’ai perdu 10 000 €, comptablement parlant.
J’en ai profité pour récupérer trois masques transparents, dans une ambiance de fin du monde… J’ai arrêté les soins à domicile et j’ai organisé le cabinet avec un fléchage au sol et des informations à gogo sur les nouveaux comportements à adopter, sans distiller la peur, mais en faisant appel au libre choix responsable de chacun. Je lisais les directives et commentaires divers sur l’ordinateur, sans m’identifier à la peur, à l’affolement général, ni à l’activisme guerrier, car je mesurais l’incohérence de ce qu’il se passait. La communication était tellement lourde et contradictoire que je contestais la gravité du problème, pour moi c’était une simple grosse grippe avec beaucoup de mensonges autour.
Je n’ai pas pris contact avec les collègues, je suis resté planqué derrière mon écran.
Au confinement suivant les patients sont revenus et j’ai très bien travaillé au cabinet et à domicile, malgré les accoutrements obligatoires, masques et blouses de surprotection, voire surbottes !
Je pouvais me déplacer pour raison professionnelle et j’en jouissais.
Les choses se sont gâtées avec la manipulation sur les vaccinations. Je ne pouvais plus faire semblant ni me cacher derrière le masque. Je gagnais du temps en refusant poliment par un « non merci » la proposition pressante du pharmacien de me vacciner, et résistai à l’injonction d’un gros prescripteur à faire de même. Le courrier de l’ARS m’a contraint à me positionner : je me suis mis en retraite la veille de l’échéance des autorités sanitaires, en accord avec mon épouse sur qui repose aujourd’hui les remboursements bancaires.
Je me suis donc retrouvé confiné. Je pensais beaucoup à Coluche et je m’autorisais à sortir et à tricher en mesurant la bouffonnerie de la chose. J’ai constaté le zèle des jeunes policiers à interpréter les règles pour accroître leurs pouvoirs coercitifs.
Dans ma famille proche, tout le monde était sur la même position : pas de vaccination. Certains de mes cousins refusaient d’en parler, hypnotisés qu’ils étaient. Mon père est décédé de vieillesse à l’hôpital au début du premier confinement. Nous étions six à son enterrement. Nous ne savons pas comment son décès a été comptabilisé.
Dès lors, je me suis attaché à ouvrir un autre cabinet de Kinésiologie en tant qu’auto-entrepreneur pour continuer à accompagner les patients, devenus clients, qui me faisaient encore confiance et qui avaient eux aussi besoin de rencontrer un espace sécurisé pour être entendus.
Ce que je n’osais pas faire, la plandémie me l’a permis. Comme quoi tout est bon dans le cochon.
J’ai subi les vaccinations de l’enfance et de l’armée, avec effet secondaire pour ces dernières. J’ai toujours été très réticent sur les vaccinations, et bien évidemment sur celle-ci, car le mensonge semble exponentiel dans le monde vaccinal. Depuis toujours, le concept de terrain au sens large est mon cheval de bataille et mon cheval de Troie, car les kinés jouissent du libre choix des outils à utiliser pour rééduquer les patients, et je ne m’en privais pas. Mes techniques étaient du côté de la paix et non de la guerre. L’argent marche avec le pouvoir et la connaissance avec l’autonomie. J’ai choisi. Les choix qui sont faits par les politiques, les médias, bigpharma et un peuple apeuré ne me concernent pas. Ils me placent d’emblée en résistance.
Je suis pour la liberté du choix vaccinal donné aux parents et adultes. Ceux qui ne respectent pas la loi en ne déclarant pas leurs conflits d’intérêt ne sont experts que du mensonge et de la duperie.
J’ai beaucoup appris ces trois dernières années. Une nouvelle approche de la santé est en train d’éclore partout. Je ne suis plus seul. Vive les temps de crises, ils préparent de beaux jours pour ceux qui ont appris à surfer les vagues de la vie.
Soigner l’humain, c’est soigner la terre et réciproquement.
Jean-Louis, Kinésiologue Ecologue sur la planète terre.
Témoignage recueilli le 21/5/2023