Claire
Médecin Ostéopathe (Ille-et-Vilaine)
« Aujourd’hui la stratégie est de rendre les gens malades et de les maintenir dans la peur et la maladie. »
Claire a 61 ans. Elle a exercé comme médecin, puis comme ostéopathe pendant 23 ans. Divorcée, trois grands enfants et une petite fille. Elle a demandé sa radiation de l’ordre des médecins en février 2022. Elle pratique aujourd’hui une approche holistique de la santé, nutripuncture et énergétique.
En temps qu’ostéopathe je n’avais pas une patientèle de médecine générale. Lorsqu’il y a une épidémie l’ostéopathe ne voit plus personne.
Le premier confinement n’a pas été trop traumatisant, je me suis retrouvée un peu dans mon cocon, mais un mois ça commence à être long. J’avais ma mère en EHPAD à ce moment-là, on n’avait pas le droit d’entrer, mais n’habitant pas très loin je pouvais aller la voir à sa fenêtre et lui dire bonjour… Ça a été terrible pour nos seniors, tous enfermés dans leur chambre. Elle avait 92 ans et a été hospitalisée suite à une chute. Admise à l’hôpital pour une fracture des vertèbres, il a été indiqué sur le compte rendu que son hospitalisation était due au Covid car le test PCR était positif !
Petit à petit, les gens sont revenus à mon cabinet, mais ils avaient toujours peur, car en tant qu’ostéopathe nous devons toucher les patients. Il fallait porter un masque, mettre des gants, pour faire de l’ostéopathie c’est très pratique… J’étais opposée au port du masque, ça n’avait jamais empêché d’attraper une grippe et puisqu’on attrapait le Covid de la même manière qu’une grippe, ça ne servait pas à grand-chose, le virus est si petit qu’il passe partout. Mais certains patients étaient tellement terrorisés qu’il m’est arrivé de porter un masque pour les rassurer.
Un nouveau virus qui apparait comme celui-là et quelques mois après un vaccin, ce n’était pas possible, ça n’avait jamais existé ! Les vaccins doivent être testés, éprouvés, et le processus prend des années. Comme les autres médecins je recevais les informations en provenance des autorités sanitaires et à mes yeux ce n’était pas un vaccin, c’était une thérapie génique car utilisant de l’ARN-messager. Fabriquer une nouvelle thérapie et la mettre comme ça à disposition du monde entier alors que rien n’avait été suffisamment testé signifiait que nous étions tous des cobayes. On vous injecte un vaccin à ARN-messager et comme pour les cultures on passe à l’organisme génétiquement modifié. On sait qu’avec les OGM les plantes ne se reproduisent pas, pour moi l’expérience continuait avec l’humain. Soi-disant cela ne modifierait pas notre génome, mais Alexandra Henrion-Caude, généticienne, a démontré que ce produit peut affecter l’ADN. La « vaccination » anti-covid était quelque chose que je ne pouvais pas envisager, même avant qu’on nous l’impose. On en savait trop peu sur ce qu’il y avait derrière pour considérer ce « vaccin » comme sûr.
Ce qui m’a le plus choquée c’est que l’on empêche les gens de se soigner. Les médecins ne se déplaçaient pas, mais par contre prescrivaient du doliprane qui pouvait diminuer l’immunité et altérer le foie au passage. Les gens mourraient chez eux alors qu’il y avait des traitements, Ivermectine, Hydroxychloroquine, Artémisia annua, dioxyde de chlore. Tous les traitements qui marchaient (curieusement tous antiparasitaires) étaient interdits. Vont-ils obéir ou non ? Ce test de la résistance des masses a marqué pour moi le début du glissement vers le totalitarisme.
Il s’avère qu’en Bolivie des gens ont été soignés avec le dioxyde de chlore, c’est un traitement qui peut être utilisé par tout le monde. Les médecins militaires le distribuaient eux-mêmes dans les villages. Le CDS (Chlorine Dioxyde Solution) va amener l’énergie (l’oxygène) là où notre corps en a besoin. Au-delà des raisons toxiques d’une maladie, il est toujours intéressant de rechercher les causes de la maladie et à quel moment elle s’est déclarée. Ce qui m’a interpellée c’est que tous les produits qui marchaient soient des antiparasitaires. Auparavant on vermifugeait les enfants régulièrement, aujourd’hui on ne traite plus les parasites chez les enfants, alors qu’en fait l’être humain est bourré de parasites.
Je ne craignais pas le virus, j’avais davantage peur de l’obligation vaccinale. Je pensais aux rafles du Vel d’Hiv et je me demandais comment échapper à la vaccination si on nous emmenait de force dans les vaccinodromes, comment ne pas faire partie du lot ? Beaucoup de soignants ont été contraints à la vaccination, j’ai pu y échapper, je ne travaillais pas à l’hôpital, je n’étais plus chargée de famille, je mettais juste ma personne « en danger » financier.
Plus l’été 2021 arrivait et plus j’étais renforcée dans ma conviction : je ne me ferai pas vacciner, et de toute façon j’attraperai le Covid. Je n’ai même pas eu besoin d’aller le chercher, il est venu à moi tout seul le jour de l’interdiction d’exercer ! C’est vrai que le virus secoue un peu, je n’ai pas fait beaucoup de grippes dans ma vie, peut-être deux, mais cette fois j’ai vraiment ressenti une fatigue intense, c’était très bizarre, ça ne me paraissait pas naturel. Je travaille dans un milieu où on fait de l’énergétique, on prend soin de notre organisme, et grâce à ces soins j’ai retrouvé des forces et avec le temps tout est rentré dans l’ordre. J’avais donc la possibilité de reprendre mon activité pour une période de six mois après l’infection. J’ai eu un nouvel épisode de Covid en janvier 2022, mais dès février il n’était plus possible de travailler sans avoir reçu une dose de vaccin, même si l’on avait été infecté par le virus. Je n’ai pas attendu la sanction, je me suis radiée du Conseil de l’Ordre. Cela faisait des années que j’y pensais, j’étais dans une pratique déconventionnée et je ne voulais plus être aux ordres de gens qui ne font preuve d’aucune cohérence, d’aucune éthique. Empêcher le Professeur Raoult de soigner les gens alors qu’il les sauvait et ensuite le traîner dans la boue, je ne pouvais pas entendre ça. J’admire le courage de tous ces médecins et ces soignants qui ont osé dire non. Je l’ai fait à ma manière, mais je suis incapable de m’exposer comme ils ont pu s’exposer, et prendre des risques tels qu’ils en prenaient.
Je me suis d’abord sentie un peu seule sur le plan professionnel mais j’ai pu continuer à suivre des cours par visio-conférence et rencontrer ainsi d’autres praticiens qui, pour la plupart, partageaient mon approche. J’étais déjà un peu en dehors du système, je n’ai pas été plongée au cœur du tsunami qui a frappé la plupart des soignants non vaccinés. Je regardais cela un peu de loin, j’avais peu de contact avec les médecins généralistes traditionnels, j’étais plus proche des homéopathes, des acupuncteurs, des médecines que j’appelle « autres ». Toute médecine est une médecine, qu’elle soit liée à la doxa ou non. Quand je faisais mes études de médecine, déjà je ne comprenais pas qu’on ne soigne qu’avec des médicaments, on faisait huit à dix ans d’études de médecine et on avait peut-être deux heures de cours sur la pharmacopée, on ne nous parlait pas d’homéopathie, on ne nous parlait pas d’acupuncture, on ne nous parlait d’aucune autre médecine, tout était axé sur les médicaments. Mais en tant que médecin, on ne connaissait ni leur contenu ni leurs principes d’action. Les pharmaciens avaient six ans pour étudier la composition des médicaments, il nous aurait fallu six années d’études supplémentaires pour pouvoir comprendre. On prescrivait des produits sans savoir ce que c’était. Du temps de nos parents ou de nos grands-parents, il n’y avait pas ces molécules chimiques toutes faites et il y avait tout de même des médecins qui connaissaient la façon de produire eux-mêmes les bons remèdes !
J’ai découvert l’ostéopathie par hasard, à l’époque on n’en parlait pas encore, il n’existait pas d’école en France. J’exerçais en tant qu’interne en rééducation fonctionnelle et j’ai rencontré des médecins, qui étaient très biomécaniques, et là je me suis dit « Pourquoi prescrire des antiinflammatoires s’il est possible de faire du bien autrement ? ». Je me suis dirigée vers l’ostéopathie et me suis installée dès que l’on a été autorisé à faire figurer cette mention sur notre plaque de médecin. Au fur et à mesure des rencontres et des différents stages, je suis passée de l’ostéopathie très structurelle au crânien, ensuite au tissulaire et à une ostéopathie de plus en plus énergétique. C’est en rencontrant des gens qui sont ouverts à autre chose que j’ai développé mon activité telle que le décodage biologique ; j’en ai fait pendant des années, mais avec toujours la trouille au ventre de me faire contrôler, ou dénoncer. Pourquoi ne pas être libre d’exercer quelque chose dont on sait que cela peut faire du bien aux gens ? Quand le Docteur Olivier Soulier est décédé cela m’a fait un choc. Il était homéopathe, mais aussi décodeur de la maladie. Aujourd’hui la stratégie est de rendre les gens malades et de les maintenir dans la peur et la maladie, au lieu de trouver des moyens pour les aider afin qu’ils gardent une énergie positive et un potentiel de santé. C’est dans ce domaine que je suis le plus à même de leur apporter mon aide.
Je n’ai pas choisi de me faire faussement vacciner, j’aurais pu… j’ai changé de casquette, je suis devenue thérapeute, tout en continuant ce que je faisais déjà, de la nutripuncture et de plus en plus d’énergétique. En tant que médecin ostéopathe je voyais beaucoup de bébés pour des plagiocéphalies (déformations de crâne) et également beaucoup d’enfants en ostéopathie pure. Je ne vois plus ces patients. De plus c’est devenu compliqué pour bon nombre de personnes financièrement car mes consultations ne sont plus prises en charge par l’assurance maladie. J’ai perdu beaucoup en patientèle, les mesures prises lors de la pandémie avaient déjà grevé mes revenus, ça a été très difficile sur le plan financier ces quatre dernières années.
Au sein de la famille ça n’a pas été simple. J’ai réussi à convaincre mon ex-conjoint, mes enfants, mais pour une partie de la famille il fallait faire les choses comme on nous le demandait et chaque fois que je proposais de faire une recherche sur internet qui aurait pu apporter des informations le refus était immédiat. C’est ainsi que ma mère n’a pas vu ses arrière-petits enfants pendant deux ans. La conséquence des mesures de protection sur les enfants est énorme. Quel sera l’impact sur les bébés qui n’avaient en face d’eux que des masques ? Que vont-ils devenir ? Des enfants sans affect, qui ne peuvent pas exprimer quoi que ce soit puisque c’est par la mimique de l’adulte qu’ils apprennent. Et les petits que l’on masquait ? J’ai trouvé tout ça aberrant. Et la vaccination des enfants, des adolescents, des jeunes…? J’ai des patients avec qui on en avait parlé, mais la peur faisant son œuvre, ils ont quand même fait vacciner leurs enfants. La fille de l’un d’entre eux a connu des troubles des règles juste après l’injection. Dans mon entourage je n’ai vu personne avec un Covid grave, par contre maintenant je vois les effets du Covid et des vaccinations sur les patients. J’ai des outils qui m’ont permis d’aider beaucoup de gens et ça continue en ce moment, je reçois des gens qui viennent me voir pour des troubles post covid qui sont surtout des troubles post injection. Ils n’ont pas forcément conscience que les troubles qu’ils ressentent sont liés au vaccin. C’est impressionnant, ils ont une pathologie qui s’est déclarée dans le mois qui suit une vaccination, ils n’établissent pas le rapport. Mais quand ils se sentent mieux après une déprogrammation vaccinale, ils ne peuvent pas nier le lien. J’ai récemment vu un jeune homme de 24 ans, en dépression, ayant arrêté ses études parce qu’un mois après s’être fait vacciner il avait attrapé le Covid. Depuis il a eu des problèmes de thyroïde, une diplopie (trouble oculaire) qui a dû être opérée, le tout avec persistance d’une fatigue intense et un état général pas très bon. Après deux séances il va beaucoup mieux. Qu’a-t-on fait à nos jeunes ? On ne compte pas le nombre de jeunes femmes qui ont des troubles des règles, on voit de plus en plus d’endométrioses, les injections ont tapé là où les gens avaient des faiblesses, elles ont fait flamber des choses qui étaient peut-être sous-jacentes. Et ça va essentiellement toucher le sang. En regardant au microscope une goutte de sang d’un individu injecté on peut voir, sur certaines vidéos, les globules rouges s’empiler les uns sur les autres, former des agglomérats. Après, comment voulez-vous que ça circule bien ? Il y a beaucoup d’accidents vasculaires. Quand il s’agit de personnes d’un certain âge on se dit c’est normal, même si jusque-là ils allaient très bien, mais on voit aussi beaucoup de péricardites ou de myocardites chez des jeunes, des morts subites chez beaucoup de sportifs. Le nombre de jeunes qui décèdent est impressionnant, on ne compte pas non plus les suicides, mais il est difficile d’obtenir les vrais chiffres, on ne peut pas faire confiance aux médias.
J’avais un certain nombre d’amis médecins qui approchaient de la retraite au moment de l’obligation vaccinale et qui n’ont pas repris leur activité. Beaucoup pratiquaient une forme de médecine « alternative » et ils n’exercent plus. Il y a une perte de savoir-faire et la transmission aux plus jeunes devient problématique. Quel jeune va vouloir pratiquer l’homéopathie ? Compte tenu du manque de reconnaissance de cette discipline ils ne vont pas s’y intéresser, et c’est vraiment dommage. Il y a aussi tous ces jeunes qui étudiaient la médecine, qui ont voulu résister et ne pas suivre les instructions, et qui ont dû arrêter leurs études.
La peur a été diffusée avec les virus, et la peur continuelle est maintenue avec les guerres, avec la politique. J’ai vu récemment le film Les Survivantes de Pierre Barnérias, auparavant j’avais vu le film Hold Up. Pourquoi ces films sont-ils interdits ? La liberté d’expression semble avoir été complètement abolie en France. Dans ces films beaucoup de choses sont dites, mais tout est fait pour qu’elles ne soient pas connues. Ces personnes-là méritent que leurs films soient diffusés dans des grandes salles. On est peut-être malheureusement au début d’un processus de destruction de l’humain. Il est possible que les enfants des générations à venir subissent des mutations génétiques, qu’on arrive sur une nouvelle espèce humaine. Dans quel sens cela va-t-il se faire ? Je n’en sais rien. En tout cas ils essaient déjà de les transformer les pauvres enfants, quand je vois que les femmes enceintes ont été vaccinées alors que le fabricant du vaccin savait que cela pouvait faire du mal, c’est fou !
On infantilise les gens, on les empêche d’être eux-mêmes, il faut d’abord les aider à retrouver l’énergie, et ensuite traiter l’information. Il faut prendre conscience que tout est vibratoire et que toute information est une vibration. Et c’est par la vibration, par toutes ces informations-là que l’on est impacté, bien au-delà de notre corps physique. On touche au domaine de l’électro-moléculaire et on en arrive à la physique quantique dont parle Philippe Guillemant, physicien. Ce sera la médecine du futur, les informations véhiculées à d’autres niveaux. C’est ce qui permettra de sauver l’humanité.
Il est nécessaire de croire en la vie et conserver éthique et discernement pour retrouver une humanité libre. Retrouvons notre potentiel d’action, et notre soi pour pouvoir avoir la liberté d’être et de faire.
Témoignage recueilli en juin 2024