Ils ont été effacés, mettons-les en lumière
Anaïs
Infirmière libérale
(Gironde)
Ce n’est pas facile, mais je vis cela comme une démarche très positive.
Sylvie
Médecin
(Nouvelle Aquitaine)
Pourquoi veut-on imposer à toute la planète une expérimentation ? et pourquoi ça passe aussi bien ?
Gaëlle
Infirmière
(Ille et Vilaine)
Cette psychose fait un mal énorme à toute la population, mais les enfants, c’est horrible ce qu’ils vivent.
Sandrine
Chauffeur de taxi
(Val d’Oise)
Je crois que les gens ont peur de regarder la vérité en face et ils préfèrent se mettre la tête dans le sable.
Doumé
Aide-Soignante
(Ain)
Ces deux dernières années ils ont dégoûté les gens de faire ce métier, il n’y a plus de motivation.
Odile
Auxiliaire de puériculture
(Rhône)
En fait c’est un « choix » avec le pistolet sur la tempe.
Elisabeth
Psychologue
(Pyrénées-Atlantiques)
Toutes les mesures prises au fil des mois, c’était avant tout une façon de tester la soumission des populations.
Yannis
Aide-soignant
(Paris)
Le maître-mot c’est la confiance. Je n’ai plus du tout confiance dans ce gouvernement.
Hélène
Psychomotricienne
(Gers)
J’ai choisi ce métier par passion, pour sa diversité et pour le lien aux autres.
Stéphanie
Psychologue clinicienne
(Ardèche)
On n'enferme pas les oiseaux.
Florence
Assistante sociale
(Essonne)
J’ai du mal à m’imaginer retourner dans un monde qui ne me correspond plus
Agnès
Monitrice-Educatrice
(Hautes-Alpes)
A présent le seul masque que j’accepte de porter, c’est le plus petit masque au monde, celui du clown.
Aïcha
(Lot-et-Garonne)
Quand ils avaient besoin de nous on était là, en première ligne. Après, on n’a eu aucun soutien.
Mylène
(Hautes Alpes)
C’est surtout la peur du manque qui est le plus difficile à vivre lorsqu’on a des enfants.
Sabine
Thérapeute familiale
La peur a pris toute la place, elle a pris l’amour, le respect des différences, le droit de choisir, notre liberté de penser…
Francine
Accompagnante éducatif et social
Je suis dans une espèce de spirale, dans ma tête j’ai un gros point d’interrogation.
Francis
Infirmier
(Vaucluse)
Administrativement, socialement, on disparaît, on est effacé, conduit lentement vers notre mort.
Armelle
Educatrice spécialisée
(Oise)
Je suis égoïste ? 25 ans dans le médico-social, bénévole aux restos du cœur, donneuse de sang. Et vous, qu’avez-vous fait en 25 ans ?
Gwendall
Kinésithérapeute
(Région Ouest)
C'est injustifiable de se priver de soignants alors que le système de santé en manque tant.
Diane
(Val-de-Marne)
Ce chantage au travail, c’est aberrant et scandaleux. Les gens ne réalisent pas encore ce que ça va être.
Caroline
(Maine et Loire)
Je n’aurais jamais imaginé me sentir un jour presque honteuse, ou coupable, d’être infirmière.
Nadia
Orthoptiste
(Lot et Garonne)
J’aimerais juste pouvoir continuer à faire mon métier, parce que je m’y sens utile.
Barbara
Aide-soignante
(Hérault)
Cette crise a permis de faire accepter aux citoyens le renoncement à une qualité de soins et de prise en charge.
Marie
(Charente-Maritime)
J'ai découvert le pire et le meilleur de l'être humain, je ne garde que le meilleur.
Catherine
Je ne vois pas d’avenir, faire autre chose à mon âge, c’est compliqué.
Nicolas
Chauffeur
(Ille-et-Villaine)
Pour les primes, on nous a exclus du SEGUR, pour l’obligation vaccinale on a été assimilés.
Anne
Je veux être gardienne de la vie, pas de la mort.
Fabienne
(Doubs)
Mise aux oubliettes alors que le système hospitalier, que l'on continue de saigner, fait une véritable hémorragie.
Valérie
Dentiste
Je suis épuisée, je pense que mes nerfs ont lâché après ma suspension et qu’il va me falloir du temps pour récupérer.
Annelyse
Ce n'est pas le virus qui a chamboulé ma vie depuis deux ans, mais ce sont bien les décisions gouvernementales.
Laurent
Soit il y a une révolte du peuple et j’en serai, soit il y a une résignation générale et je ferai autre chose.
Florie
(Pyrénées Atlantiques)
Pour l’instant, je suis dans la lutte, je veux que les gens comprennent qu'il se passe quelque chose.