Ils ont été effacés, mettons-les en lumière
Benjamin
Infirmier en psychiatrie
(Lot-et-Garonne)
J’avance à petit pas tous les jours. Sur un chemin que j’ai choisi. Et si la montagne se révèle être de taille… derrière… il y a la mer.
Charlène
Aide-soignante
(Ardèche)
Ce ne sera pas ce gouvernement pourri qui me dira ce qui est bon ou mauvais pour mon fils.
Olivier Soulier
Médecin
(Nord)
Protéger la médecine, la vraie médecine.
Valérie
Infirmière
(Seine-Saint-Denis)
Il faut que les gens comprennent que c’est une grosse mascarade, tout ça.
Adrien
Psychiatre
(Paris)
La première sécurité, le premier confort, c’est de ne pas être sous l’oppression politique.
Florence
(Haute-Savoie)
C’est extrêmement violent d’être convaincue qu’il y a des traitements qui fonctionnent et ne pas pouvoir les utiliser.
Anne
(Loire)
Il n’y a pas de logique sanitaire et l’absence de réflexion des gens me fait peur, parce que ça peut aller très loin.
Sophie
(Côtes d’Armor)
J’ai envie d’une vie dans la joie et non dans la peur.
Monique
Soignante
(Val-de-Marne)
Les gens ont peur. Qui veut se mesurer à l’État ? Mais ils oublient que le pouvoir est au peuple.
Marie-Paule
(Nièvre)
Soigner les autres, c’est ma vie, je pense que je suis née pour ça. Je ne veux pas qu’on m’empêche de le faire.
Alexandre
Aide-soignant
(Hauts-de-Seine)
On devrait tous défendre le personnel hospitalier.
Noura
Manipulatrice en radiologie
(Val-d’Oise)
Je quitte l’hôpital alors que c’est une passion pour moi, un plaisir de travailler avec les patients.
Qui aurait pensé que nous, soignants, serions traités comme des criminels ?
Nicolas
Masseur-kinésithérapeute
Comment va-t-on pouvoir revivre et retravailler tous ensemble ?
Christine
(Gironde)
Il est impensable que l’on puisse interdire aux médecins de soigner.
Aurélie
Psychologue en pédopsychiatrie
Je ne peux pas accepter que l’on offre aux enfants un monde coloré par la peur et la haine de l’autre.
Alexandra
(Landes)
Ils ont voulu nous enterrer, mais ils ont oublié que nous étions des graines.
Cindy
Auxiliaire de puériculture
(Eure-et-Loire)
Ce ne sont que des révolutions minuscules qui permettront qu’un jour le monde soit plus beau.
José
Médecin généraliste
(Manche)
Vous avez manqué le réveil sanitaire ne passez pas à côté du réveil pour la paix du monde.
Sylvie
Cuisinière
(Mayenne)
Cette crise est faite pour éveiller les consciences, une autre société s’ouvre à nous.
Salima
Il n'y a rien de sanitaire dans cette histoire, c'est une affaire de gros sous et non une histoire de santé.
Laurence
On me refuse tous mes droits de citoyenne, je me sens de plus en plus prise à la gorge.
Sebastien
Pompier professionnel
Où est passé le bon sens ? Est-ce fermer des lits et suspendre des soignants ?
Elsa
Sage-Femme
(Haute-Loire)
Nous sommes en train de vivre une naissance
Nadège
Monitrice-éducatrice
(Côtes-d’Armor)
J’ai une maison à payer. Je vais peut-être la perdre, mais je ne désespère pas.
Nanou
ASHQ
(Haute-Garonne)
Je voulais être au service de l’humain.
Joseph
Agent hospitalier
Et puis là, on se retrouve sans travail, sans salaire et tous ceux qui nous ont applaudis se cachent chez eux. C’est dommage.
Adèle
(Loire-Atlantique)
J’ose espérer qu'un jour les générations futures se souviendront cette page de notre histoire, ce qu'ont vécu certains citoyens français sous ce gouvernement.
Delphine
Médecin généraliste et Hypnothérapeute
J'ai mal à ma médecine. Adieu les cons !
Frédéric
Chirurgien-dentiste
(Bouches-du-Rhône)
On disait aux gens malades de rester chez eux, de ne pas aller voir leur médecin et de prendre du doliprane ! Et en plus, interdiction de prescrire des remèdes existants depuis plus de 70 ans !
Céline
Psychologue
(Cher)
Je ne rentrais pas toujours dans les clous dans ce que j'exprimais des besoins des résidents et de leurs proches.
Amandine
Technicienne de laboratoire
(Ille-et-Vilaine)
Un “vaccin” pour obtenir une liberté ? Accepter de devenir des cobayes ? Moi, je ne l’accepte pas.